mercredi 26 janvier 2011

NOUVELLE FONCTION DANS LES AGENDAS (site France Galop - rubrique professionnels)

Posted on/at 12:06 by "Actionnaires du Galop"

A notre demande, France Galop offre désormais la possibilité de décider de nos partants en connaissance de cause. C'est un gros progrès !
Alerte parue le 26/1/2011 :
"DANS LA FONCTION DE CONSULTATION DES AGENDAS PAR DATE, CERTAINS NOMS DE PRIX SONT DESORMAIS CLIQUABLES. CETTE OPTION EST OFFERTE SUR LES CLOTURES DE PARTANTS PROBABLES, DE DEFINITIFS ET ENGAGEMENTS SUPPLEMENTAIRES. ELLE PERMET DE CONSULTER LES CHEVAUX DéCLARéS AVANT LA CLOTURE DE LADITE DECLARATION."

lundi 24 janvier 2011

Bruxelles attaque une nouvelle fois le financement de la filière hippique - JdG

Posted on/at 23:01 by "Actionnaires du Galop"

L’actualité institutionnelle est très riche en ce moment. Nous parlions de 2011 comme une année de révolution : il est vrai que la situation des courses évolue de jour en jour et promet d’évoluer beaucoup encore au cours de l’année. Le dernier exemple en date, c’est l’Union européenne qui exprime des doutes « très sérieux » sur la taxe imaginée par le Gouvernement français pour compenser le manque à gagner pour la filière équine française suite à l'ouverture à la concurrence des paris hippiques. On se souvent que Paris avait, selon les termes de l’avis publié au Journal Officiel, souhaité « éviter une éventuelle déstabilisation économique de cette filière par l'ouverture à la concurrence du secteur » en garantissant ses ressources. Pour cela, la France avait informé la Commission de sa volonté de créer un impôt « frappant les paris hippiques en ligne [pour financer] une mission de service public dénommée : amélioration de la race équine et promotion de l'élevage. » Mais Bruxelles ne l’entend pas de cette oreille et juge cette taxe peu compatible avec les règles de l’Union. Elle estime que cette taxe constitue une aide publique et dit avoir « des doutes très sérieux sur la qualification de service d'intérêt économique général de la mission confiée aux sociétés de courses ». La Commission a ouvert une procédure d'examen en novembre (rendue publique tout récemment), qui est « toujours en cours », a-t-elle confirmé à nos confrères de l’AFP. Elle pourrait prendre plusieurs mois. « La réponse de Paris est toujours à l'examen, et suite à la publication de l'avis au Journal Officiel, les parties intéressées peuvent également transmettre durant un mois leurs commentaires à Bruxelles », écrit l’Agence France Presse… À suivre !

dimanche 23 janvier 2011

La folie des paris en ligne en France : "déjà 514 millions d'euros joués chez les opérateurs" - Source : La Tribune.fr - 22/01/2011

Posted on/at 17:43 by "Actionnaires du Galop"

Interview exclusive de Jean-François Vilotte, président de l'Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel). L'Arjel estime que l'offre illégale recule. Elle a commencé à lutter contre les casinos en ligne illégaux en France. Et s'apprête à encadrer les bonus versés dans le poker.

Quel bilan tirez-vous de ces premiers mois d'ouverture du marché des jeux en ligne ?
En six mois et demi, les Français ont ouvert 2,9 millions de comptes joueurs. Au 31 décembre, 448 millions d'euros avaient été misés dans les paris sportifs, 452 millions dans les paris hippiques, et dans le poker, 3,7 illiards d'euros en version cash game et 412 millions en tournoi. Si l'on ne tient pas compte du recyclage des gains, les joueurs ont déposé 514 millions d'euros sur les comptes ouverts chez les opérateurs de paris en 2010. Un euro génère par exemple 4 euros de paris sportifs, 3,2 euros de paris hippique et 23 euros de poker.
Mais les opérateurs accusent les offres illégales de continuer de prospérer à leurs dépends...
Il y a un basculement de l'offre illégale à l'offre légale. Dans le sport, les mises étaient comprises entre 900 millions et 1 milliard d'euros avant l'ouverture du marché. C'est le montant qui correspond au marché en 2010 si l'on tire une projection annuelle. Une immense part du marché illégal a été tarie. Il est de 10 à 15 % maximum aujourd'hui. Nous devons continuer d'être vigilants. Nous avons déjà procédé à 150 mises en demeure. Et la procédure de blocage des flux financiers sera opérationnelle en 2011. Nous avons aussi commencé à nous attaquer aux casinos en ligne et obtenu le blocage de 130 de ces sites. Mais pour lutter contre les sites illégaux, il faut que l'offre des opérateurs continue d'être attractive.
Justement, les opérateurs se plaignent des conditions du marché (fiscalité, versement aux fédérations sportives...) qui les empêchent de gagner de l'argent. Le discours alarmiste est simplificateur. Les sites sont déficitaires en raison de leur stratégie marketing. D'ailleurs, ces déficits étaient prévus. Quant au droit au pari, il a seulement représenté 530.000 euros en 2010. En revanche, je remarque que 61 millions d'euros de bonus ont été distribués aux joueurs, dont 14 millions dans les paris sportifs, 11 millions dans l'hippisme et 36 millions d'euros dans le poker. Nous allons d'ailleurs encadrer les bonus du poker, où les taux de retour au joueur peuvent dépasser les 100 %, par des plafonds ou des mesures qualitatives. Ces bonus sont des facteurs d'addiction.
530.000 euros, c'est peu pour le mouvement sportif.
Les organisateurs d'événements, comme la Ligue de football par exemple, devraient mettre en oeuvre des procédures contentieuses lorsque des paris sont organisés sur leurs compétitions à l'étranger, afin de réclamer le droit au pari. Plus généralement, je rendrai à Chantal Jouanno, ministre des Sports, en mars un rapport sur les dispositifs de prévention contre la corruption.
L'Autorité de la concurrence vous demande de réguler le prix du droit au pari, qu'en pensez-vous ?Le prix ne doit pas être administré. Car, selon la loi, il n'est pas uniquement lié au mécanisme de prévention des risques, mais tient compte de la renommée et du rayonnement de l'événement. En revanche, l'Arjel avait souhaité mettre en ligne un guide de bonnes pratiques. Mais il ne peut avoir de caractère obligatoire. Pour l'avenir, l'Arjel pense qu'il faudra trouver un mécanisme qui puisse rendre ses avis contraignants.
L'Autorité de la concurrence s'en prend aussi au PMU...
Les opérateurs doivent être attentifs aux recommandations, car l'avis est éclairant sur la position que prendrait l'Autorité en cas de contentieux.
Propos recueillis par Sandrine Cassini

jeudi 20 janvier 2011

Dernière minute du JdG : Le PMU dans le collimateur de l’autorité de la concurrence

Posted on/at 22:35 by "Actionnaires du Galop"

Selon l’Agence France Presse, « l'Autorité de la concurrence a recommandé
jeudi des mesures pour éviter "toute distorsion" dans la concurrence des
paris en ligne, particulièrement hippiques, et incite le PMU à la "séparation juridique et fonctionnelle" de ses activités en points de vente et sur internet.
(…) Dans un avis de 57 pages, cette autorité indépendante, relève que
"si une réelle concurrence semble émerger entre les opérateurs de paris
sportifs et de jeux de cercle en ligne", la situation "soulève davantage de
préoccupations s'agissant des paris hippiques". (…) Elle recommande la
"séparation juridique et fonctionnelle des activités exercées en monopoles
et des activités exercées sur le marché concurrentiel", une remarque qui
vise particulièrement le PMU puisque la Française des Jeux a déjà séparé
ses activités de paris sportifs dans ses points de vente et en ligne sous
deux marques différentes. Enfin, l'Autorité de la concurrence relève "un
risque de distorsion de la concurrence" lié à l'avantage concurrentiel
détenu par le PMU du fait de l'importance de la masse des enjeux qu'il collecte, notamment dans ses 11.000 points de vente. Cette masse lui permet en effet de "distribuer aux gagnants de paris complexes (type Quinté dans l'ordre), une rémunération plus élevée que celle qui peut être proposée" par les autres opérateurs.
(…) D'autre part, l'Autorité de la concurrence préconise une "régulation a
priori" du prix du droit au pari que les opérateurs de paris sportifs en ligne doivent acquitter auprès des organisateurs de compétitions servant de base à ces paris. Pour l'Autorité, "un prix du droit au pari trop élevé est susceptible de peser sur la viabilité économique des opérateurs de paris sportifs en ligne et, dès lors, de constituer une barrière trop importante à leur entrée sur le marché". Elle estime qu'il conviendrait que ce prix fasse "l'objet d'une régulation a priori, ou d'un mécanisme de règlement des différends" confié à l'Autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL). »
Il est troublant que cette information soit publiée le jour où le PMU rachète Gény.
Lire l'avis de l'autorité de la concurrence sur :
http://www.autoritedelaconcurrence.fr/pdf/avis/11a02.pdf

mardi 4 janvier 2011

4 janvier : Centre de Chantilly - Point d'étape

Posted on/at 21:34 by "Actionnaires du Galop"

A l'initiative conjointe des acteurs et de France Galop, une réunion s'est tenue aujourd'hui à Chantilly pour analyser les conséquences d'une météo particulièrement difficile en décembre et déterminer ensemble des objectifs pour préserver et améliorer les conditions de travail des chevaux en hiver.

samedi 1 janvier 2011

2011

Posted on/at 02:00 by "Actionnaires du Galop"

Le BLOGALOP vous souhaite une merveilleuse Année 2011, pleine de surprises et de joie ...
Santé, prospérité et surtout du bonheur !
Gardez intactes vos capacités d'émerveillement et d'indignation : C'est ce qui fait bouger les choses !