jeudi 27 mai 2010

Budget Publicitaire du PMU.

Posted on/at 09:34 by "Actionnaires du Galop"

Dans une interview accordée au journal Challenges, Philippe Germond annonce qu'afin de faire connaitre au public que le PMU est aussi présent dans les paris sportifs et le poker, le budget publicitaire va croître d'environ 50%, soit environ 8 millions d'euros supplémentaires.

Ces 8 millions ne sont pas précisément en relation avec les chiffres qui ont été annoncés ces dernières semaines sur le budget communication du PMU.

Il faudra donc être très attentif sur le positionnement des sociétés mères quand à cette rallonge accordée au PMU et à sa pertinence.

Affaire de l'interruption brutale d'equidia.

Posted on/at 00:37 by "Actionnaires du Galop"

Les évènements du 25 mai montrent une nouvelle escalade dans les pressions que peut subir notre Institution, et nous sommes très inquiets d’une éventuelle dégradation de la situation, c’est pourquoi nous insistons fermement pour qu’un dialogue s’instaure entre la Direction du PMU et les personnels ayant des revendications.

Contrairement à ce qui a été dit et écrit ses dernières heures, toute interruption de la diffusion vidéo des courses est dans le contexte actuel, de l’argent perdu pour l’Institution à court et moyen terme et non récupérable. A l’aube de l’ouverture à la concurrence, et avec un bilan déficitaire à France Galop, il est indispensable qu’un climat de sérénité et de travail s’installe. Nous avons récemment constaté à notre niveau un manque évident de communication de la part des instances dirigeantes, il ne faudrait pas que ces pratiques deviennent systématiques et conduisent à un blocage de l’Institution des courses.

Tout semble partir d’importantes augmentations de hauts salaires à France Galop, assorties de primes ponctuelles.

Ce que nous découvrons alors que l’institution demande encore plus d’efforts aux socioprofessionnels, augmentant les tarifs sans aucune concertation et prônant économies et rationalisation.

Les membres du Comité n’ayant pas été consultés ni même informés de ces dépenses, nous interrogeons les administrateurs sur ces décisions qui semblent lourdes de conséquences