MOTION DU COMITE DE LA S.E.C.F.
Sur proposition de la Commission de la Province, le Comité réuni le 8 Septembre 2010, après avoir pris connaissance des déclarations du Président du Syndicat des Eleveurs du Galop en date du 18 Août relatives à l'inadaptation des statuts et plus particulièrement de la gouvernance de France Galop et à leur évolution vers une organisation avec Conseil de Surveillance et Directoire, considère que la réforme préconisée n'est ni
souhaitable ni utile.
Il est tout d'abord observé qu'une modification de l'organisation de France Galop aurait inévitablement une incidence sur celle de la SECF, et que cette évolution n'est envisageable qu'en concertation avec les 2
Sociétés-Mères.
Pour sa part, la SECF est attachée à la forme et à la nature associatives qui répondent à sa mission de service public et favorise une meilleure prise en compte des intérêts des professionnels des courses, grâce au
fonctionnement d'un système fondé sur le bénévolat, le dévouement et la défense de l'intérêt général assuré par 240 Sociétés de courses réparties sur 68 départements français.
En outre, la forme associative permet de conserver un régime fiscal adapté aux besoins de financement du secteur professionnel et de rester dans le domaine agricole.
Une plus grande participation des représentants socio-professionnels aux instances dirigeantes et décisionnaires est possible dans le cadre associatif actuel, comme c'est le cas au Trot, et l'adoption d'une
gouvernance inspirée de celle des sociétés commerciales ne paraît ni nécessaire, ni opportune.
Il doit d'ailleurs être souligné que le modèle français a fait la preuve, au fil du temps, de son efficacité et de sa réussite tandis qu'à l'étranger, les sociétés de capitaux ont la plupart du temps conduit à l'appauvrissement, voire à la ruine, de la branche professionnelle qu'elles sont censées financer.
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souhaitable ni utile.
Il est tout d'abord observé qu'une modification de l'organisation de France Galop aurait inévitablement une incidence sur celle de la SECF, et que cette évolution n'est envisageable qu'en concertation avec les 2
Sociétés-Mères.
Pour sa part, la SECF est attachée à la forme et à la nature associatives qui répondent à sa mission de service public et favorise une meilleure prise en compte des intérêts des professionnels des courses, grâce au
fonctionnement d'un système fondé sur le bénévolat, le dévouement et la défense de l'intérêt général assuré par 240 Sociétés de courses réparties sur 68 départements français.
En outre, la forme associative permet de conserver un régime fiscal adapté aux besoins de financement du secteur professionnel et de rester dans le domaine agricole.
Une plus grande participation des représentants socio-professionnels aux instances dirigeantes et décisionnaires est possible dans le cadre associatif actuel, comme c'est le cas au Trot, et l'adoption d'une
gouvernance inspirée de celle des sociétés commerciales ne paraît ni nécessaire, ni opportune.
Il doit d'ailleurs être souligné que le modèle français a fait la preuve, au fil du temps, de son efficacité et de sa réussite tandis qu'à l'étranger, les sociétés de capitaux ont la plupart du temps conduit à l'appauvrissement, voire à la ruine, de la branche professionnelle qu'elles sont censées financer.
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