vendredi 20 août 2010

Emmanuel de Rohan-Chabot (Zeturf) dans la presse.

Posted on/at 15:39 by "Actionnaires du Galop"

Dans une interview accordée à iGaming France cette semaine, nous avons relevé ce commentaire d'Emmanuel de Rohan-Chabot, président de Zeturf :

"« la mise en commun par le PMU des enjeux réalisés « en dur » (et donc protégés par le monopole) et des enjeux en ligne pose un gros problème de distorsion de concurrence. Là se trouve sans doute un angle d’attaque juridique »"

nous avions déjà évoqué et marqué notre inquiétude quant cet éventuel abus de position dominante, nous en entendrons sans doute prochainement parler.

Michel Guerriche

mardi 17 août 2010

Ventes de Deauville 2010.

Posted on/at 12:08 by "Actionnaires du Galop"

Les commentaires d’après-vente me font penser à cette théorie du verre à moitié, et du verre à moitié plein. Pour certain tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, on se rassure en évoquant le mauvais temps qui pourrait avoir dissuadé certains acheteurs ( ?), que finalement la vacation du samedi a été soutenue et que l’arrivée de nouveaux acheteurs que l’on pressent actifs est un facteur encourageant. Pour d’autres c’est le début de la fin, des résultats en demi teinte, la contagion à effet retard de la crise économique et financière mondiale qui vient gangrener le monde du turf. Chacun y allait de son analyse ce week-end à Deauville, et à chacun de se faire un avis, tous ces arguments étant à la fois pertinents et incomplets. Dans un monde où l’équilibre économique est un facteur déterminant, ce sont avant tout les chiffres qui parlent.

Le nombre de chevaux présentés est en baisse depuis plusieurs années, on a sans doute ici voulu privilégier la qualité à la quantité, et l’essai n’a pas été concluant cette année :

2008 – 2009 => -2,10%


2009 – 2010 => -8,50%

Le nombre de chevaux invendus explose cette année, et les ventes amiables n’ont pas compensées ce déficit – 31% en 2010 contre -23% en 2008 et -25% en 2009.

Le ratio prix de saillies / prix de vente moyen par étalon est en baisse et est préoccupant pour le moyen terme si celui ne se relève pas rapidement, cette baisse pourrait avoir un impact profond sur l’élevage français, à titre d’exemple on peut citer MONSUN qui dans le Top 10 des étalons faisait un prix moyen en 2009 de € 296.000 contre € 257.000 cette année.

Certains ont attribué la baisse du CA et des prix moyens à la défection de l’acheteur Shadwell, celui-ci pesait pour 10% du chiffre d’affaires 2009, mais si on décortique les chiffres on s’aperçoit que cette baisse conjoncturelle impacte tous les opérateurs institutionnels qui ont limité leurs dépenses cette année.

Voici un tableau comparatif des top acheteurs 2009 sur 2010 :

 






 

Il y a bien sûr de nouveaux acheteurs très actifs (Charles Gordon Watson Bloodstock, Sir Robert Ogden, Sylvain Vidal, …) mais l’analyse côté vendeurs est préoccupante et vient relativiser l’activité de ces nouveaux intervenants.

Voici un tableau comparatif des top vendeurs 2009 sur 2010 :













Dans ce top vendeurs, deux haras voient leur CA augmenter de manière significative, malheureusement l’anlayse du prix moyen par cheval vient relativiser ces bons résultats :

- le haras des Monceux présentait 8 yearlings en 2009 pour un prix moyen de € 200.875 contre 15 yearlings en 2010 pour un prix moyen de € 152.333,

- et Coulonces Consignment présentait 10 yearlings en 2009 pour un prix moyen de € 109.000 contre 15 en 2010 pour un prix moyen de € 96.600.

En tout état de cause, l'analyse des résultats montrent que ces ventes 2010 ont été le reflet du temps de ce week-end du 15 août ... et les ventes à venir seront suivies avec beaucoup d'attention.

Michel Guerriche

jeudi 12 août 2010

Le PMU dépose enfin son dossier de demande d'agrément auprès de l'ARJEL.

Posted on/at 18:33 by "Actionnaires du Galop"

Quelques heures après avoir publié l'information concernant la possible illégalité du site PMU.FR pour la prise de paris par internet, le média IGA Magazine corrige un peu le tir, en indiquant sur son site internet que cette information était partiellement exacte et que le PMU avait en fait 3 mois pour déposer sa demande d'agrément et non pour disposer dudit agrément - dont acte !

Il semblerait que le PMU ait effectivement déposé une demande d'agrément le 5 août dernier.

On peut s'étonner de ce dépôt tardif et pratiquement quelques jours avant le sursis donné par l'Arjel, nous suivrons avec attention la réponse de l'Arjel à cette demande d'agrément.

Lu dans la presse : Le PMU dans l'illégalité à partir de ce soir minuit ...

Posted on/at 15:58 by "Actionnaires du Galop"

Lu dans la presse le 11 août 2010 (source IGA Magazine) :

"Aussi incroyable que cela puisse paraître, le PMU sera dans l'illégalité absolue s'il continue à proposer des paris en ligne sur les courses de chevaux après minuit ce soir! En effet, le PMU n'a obtenu qu'une licence provisoire de l'Arjel pour les paris hippiques...

Cette licence, obtenue le 12 mai 2010, n'était valable que pour une durée de 3 mois. Elle arrive donc à échéance ce soir... et ne pourra être renouvelée avant la fin des vacances de l'Arjel. Insolite, non? Reste à savoir qui fera un référé pour que l'accès au site du PMU, qui sera dans l'illégalité, soit interdit."


Nous nous étions d'ailleurs fait l'écho de cette abérante nouvelle dans nos commentaires des 9 et 28 juin sur ce blog.

Pour confirmer ces propos, l'ARJEL publie d'ailleurs le commentaire suivant sur son site concernant le PMU :

Paris hippiques : Pari Mutuel Urbain est autorisé en vertu de l’article 68 de la loi n° 2010-476 du 12 mai 2010 à continuer d’exercer son activité dans le domaine des paris hippiques à condition de se conformer aux obligations définies par cette loi et de demander l’agrément auprès de l’ARJEL au plus tard 3 mois à compter de la publication du décret n° 2010-482 du 12 mai 2010 fixant les conditions de délivrance des agréments d’opérateurs de jeux en ligne, intervenue le 13 mai 2010.

Paris en ligne : le match Norvège - France du 11/08/2010

Posted on/at 11:11 by "Actionnaires du Galop"

On aurait pu penser que dans la continuité de la coupe du monde de football, le PMU allait continué de proposer des paris sur l'Equipe de France de football, et par exemple tout récemment (hier) sur la match amical Norvège - France, voire même rembourser les paris enregistrés sur la victoire de la France si celle ci perdait ... eh bien non ! les parieurs français n’ont pas pu parier sur ce match du 11 août.

Le PMU et la Fédération Française de Football n’ont pas réussi à trouver un terrain d’entente sur le droit au pari institué par la régulation des jeux en ligne. Les opérateurs de paris sportifs doivent verser à l’organisateur des rencontres sportives un pourcentage des mises pariées sur les évènements. Par exemple pour le championnat de France de Ligue 1 le droit au pari est fixé à 1% du montant total misé sur tous les matchs de foot du championnat.

En résumé, en plus des bugs techniques (toujours aussi fréquents), il y a maintenant les bugs organisationnels, qui vont bien sûr nuire à la fidélisation des parieurs, lesquel ne manqueront pas d'aller parier sur d'autres sites qui proposent et proposeront des paris sur l'équipe de France de football.

mercredi 11 août 2010

Demande de chiffres à Monsieur Monzat sur les "courses à réclamer"

Posted on/at 20:45 by "Actionnaires du Galop"

Monsieur,

Vous avez sans doute lu dans la presse spécialisée (Jour de Galop) que notre association « les Actionnaires du Galop » essayait de mener une étude sur les courses à réclamer.Afin de finaliser cette analyse, il nous manque des informations primordiales, à savoir le détail des défenses sans concurrence, or celles-ci ne figurent dans aucune des communications de France Galop, que ce soit sur le site, ou dans les documents de travail communiqués à Corine Barande-Barbe (présidente de l’association) .Je vous serai gré de me faire adresser ces éléments au format de votre choix (format papier ou fichier) pour les courses PMU et PMH depuis le 1er janvier de cette année.
Je vous remercie par avance pour votre collaboration.
Cordialement.
Michel Guerriche

A méditer ...

Posted on/at 00:50 by "Actionnaires du Galop"

Un article récent du journal irlandais Daily Record faisait le triste constat que les paris sportifs détrônaient largement le turf au Royaume-Uni.

A l'heure actuelle, les bookmakers britanniques doivent reverser 10% de leurs profits au hippisme britannique. Cette année, cette manne devrait diminuer de 24.5 millions de livres, pour atteindre 70 M£.

Selon la British Horseracing Association, ceci est une vraie catastrophe (celui ci planifiait 150 M£). Parallèlement, les profits des opérateurs ont considérablement augmentés, preuve que les paris sportifs cannibalisent les paris hippiques.

mardi 10 août 2010

JDG du mardi 10 août 2010 : Carte Blanche à Corine Barande-Barbe ...

Posted on/at 11:13 by "Actionnaires du Galop"

Ci-joint l'intégralité de l'article paru dans le JDG du 10 août 2010

Dans un contexte en pleine évolution, les sujets ne manquent pas. Fin juillet, le bureau de notre association s’est réuni pour faire le point sur les sujets d’actualité.

MISE EN ROUTE DE L'OUVERTURE DES PARIS EN LIGNE
Ses effets et conséquences, qu’ils soient décevants ou bénéfiques ne font, pour l’instant, l’objet d’aucune information auprès de la filière. On peut regretter ce silence paradoxal, car en effet, l’avenir des acteurs dépend du bon fonctionnement et du développement des enjeux. Les dépenses importantes du PMU en publicité méritent une analyse, un suivi et une concertation sur leur avenir.
Toute la filière est mise à contribution par la multiplication des opportunités et l’organisation de plus en plus complexe et coûteuse qu’elle engendre.
Le développement des réunions du matin et du soir compliquent à la fois le spectacle et l’entraînement. Depuis le 1er août, les déplacements du personnel en nocturne et semi-nocturne sont majorés de 15 à 35% selon les destinations. Nous demandons un suivi légitime des résultats financiers de ces développements et une répercussion sur la part revenant aux investisseurs.

CENTRES D'ENTRAINEMENT PUBLICS / PRIVES
Nous pensons que le problème des centres d’entraînement peut être traité globalement et de façon juste : puisque les dirigeants ont décidé de "rationnaliser" les dépenses … Qu’elles le soient en fonction de leur productivité ! Pour favoriser la recette PMU qui est désormais largement dispersée sur tout le territoire, il suffit de verser une indemnité à tout partant PMU entraîné en France, dans le public ou dans le privé. Une indemnité étudiée pour compenser les frais des centres d’entraînements et encourager les chevaux à participer à la recette.

PSF DE CHANTILLY
La décision est confirmée (on n’attend plus que le versement du Conseil régional). Cette création s’inscrit dans une logique rationnelle : à courte et moyenne portée de la plupart des chevaux qui courent en France, de nouvelles réunions à Chantilly impliquent d’importantes économies de fonctionnement et d’énergie pour France Galop, comme pour les acteurs.

LA REFORME DU JURIDICTIONNEL
Là aussi, il est permis de se demander combien de temps l’Institution pourra fonctionner dans un tel flou sur :
- le choix et la compétence des Commissaires, leur désignation et leur validation annuelle sous forme de "liste";
- le caractère plus ou moins éternel de leur nomination selon les cas. Sur l’étendue de leurs pouvoirs et leur
absence de devoirs définis et de comptes à rendre. Sur l’absence de recours en cas d’erreur, voire d’abus … Une situation qui nous amène à proposer en complément au code des courses qui énumère très bien les devoirs des acteurs un ouvrage complémentaire indispensable à l’égalité.

UNE CHARTE DES SOCIOPROFESSIONNELS
Les acteurs ne sont pas des potaches au collège. Ils supportent d’énormes responsabilités en construisant et produisant l’économie du spectacle proposé comme support d’enjeux aux turfistes.
Nous proposons qu’à la fois toutes les formations de socioprofessionnels et les indépendants, quelles
que soient leur catégorie, leur tendance, ou leur localisation, se réunissent concrètement et/ou virtuellement
pour définir ensemble les contours et le respect de leurs droits et la réciprocité qu’ils souhaitent trouver à leurs devoirs.
Plutôt que de transformer les détails qui les séparent en fossés, n’est-il pas temps que les socioprofessionnels
s’unissent pour être reconnus, respectés et défendus en tant que tels ?

REFORME DES RECLAMERS
Les avis sont très partagés. Les idées fusent, des plus compliquées aux plus burlesques…
Avant de vouloir changer la règle, je pense qu’il faut se poser la question de la solidité juridique de la réforme
proposée qui remet en cause le concept même des "réclamers". Quoiqu’il en soit, nous avons demandé une concertation. Il est indispensable qu’elle soit ouverte à tous ceux qui souhaitent s’exprimer. Les décideurs doivent connaître les positions des acteurs. S’il le faut, nous sommes prêts à organiser le débat transparent que mérite une telle réforme à la fois des usages et du marché des galopeurs. En regard de ce qui se passe sur le terrain, les chiffres qui ont été proposés aux instances, comme ceux publiés, nous semblent incomplets. Il s’agit d’un marché "public". Nous demandons que les défenses sans concurrence ne soient plus gardées
secrètes. Il est impossible de prendre une décision éclairée sans connaître la réalité des flux qui changeront.
En attendant, les Actionnaires du galop proposent une analyse mensuelle détaillée des "réclamers" jusqu’à la fin de l’année. Vous trouverez dans un prochain numéro de JDG l’analyse du mois de juillet.
Rappelons qu’au commencement, les ventes à réclamer se déroulaient aux enchères après la course …
Lorsque l’on change une règle établie, son fondement peut être remis en  cause. Il me semble que deux questions fondamentales se posent :
• France Galop, "association loi de 1901 à délégation de pouvoirs publics", at-elle vocation à profiter de la totalité (actuellement) ou même la moitié (proposition) de l’excédent du prix de vente d’un cheval d’un propriétaire à un autre ? Ce n’est pas du tout évident ! Même si le fruit de cette opération vient enrichir les finances de l’association France Galop, dont seule une partie est reversée en allocations à l’ensemble des acteurs … On peut imaginer que le total de l’excédent doive revenir au propriétaire du cheval vendu, moyennant quelques frais de gestion.
• Lorsqu’un cheval court à réclamer, le prix de mise en vente est décidé avant la course. À la suite de cette course qui constitue un élément nouveau, le propriétaire du cheval a, comme aux enchères, le droit de racheter son cheval à un prix supérieur à tout autre acquéreur qui présente une offre. En l’occurrence, les offres sont cachetées et c’est une affaire d’évaluation de la performance et de la valeur du cheval. Si un acquéreur a estimé le cheval plus cher que son propriétaire, celui-ci est vendu.
Lorsque aucun acheteur n’a fait d’offre, le cheval appartient encore par définition à son propriétaire. Serait-il concevable que ce propriétaire doive désormais payer pour garder un cheval qui est à lui et dont personne ne veut ? Je ne crois pas. Il n’y a transaction que lorsqu’il y a un acheteur et un vendeur.
J’imagine les contentieux qui vont apparaître dès l’application-test de cette réforme … Il est permis de penser que France Galop pourra prélever des frais de gestion sur les opérations à réclamer et devra finalement s’en tenir là. Avant de commencer une expérience déjà largement contestée, j’invite nos dirigeants à réfléchir sur les conséquences juridiques de cette réforme. Et sur l’opportunité de remettre en cause le concept actuel des "réclamers", en tant que marché de chevaux "moyens" ; mais aussi et surtout en tant que catégorie d’opportunités dont la donne ne peut changer sans une concertation préalable et éclairée.

vendredi 6 août 2010

COMMUNIQUE : LE CONSEIL D’ADMINISTRATION DE FRANCE GALOP CONFIRME SA DÉCISION DE RÉALISER UNE P.S.F. SUR L’HIPPODROME DE CHANTILLY

Posted on/at 21:39 by "Actionnaires du Galop"

 
Vendredi 6 août 2010, à 18h, le Conseil d’administration de France Galop a été consulté au cours d’une conférence téléphonique qui s’est tenue sous la présidence d’Édouard de Rothschild. Seul sujet à l’ordre du jour : les suites à donner au projet de réalisation d’une piste en sable fibré (P.S.F.) sur l’hippodrome de Chantilly. En effet, contrairement à ce qui était prévu, le Conseil régional de Picardie ne versera pas la subvention attendue de 1,5M€.

Ce versement n’est toutefois pas définitivement abandonné, mais possiblement différé au début 2011. « Le principe même de la contribution du Conseil régional n’est pas remis en cause, au regard notamment des assurances fournies par le président de la Communauté de communes de l'aire cantilienne. Il s'agit d'un simple décalage dans le temps », explique France Galop. Mais « le calendrier de réalisation des travaux, qui devaient débuter au 1er août, ne peut plus être respecté.

Il convenait dès lors de tirer les conséquences de cette situation imprévue. » Conscient que France Galop s’était engagé avec les entreprises chargées du projet (Colas et Polytrack), le Conseil d’administration a donc « décidé de confirmer sa décision de principe de réaliser une piste en sable fibré sur l'hippodrome de Chantilly, tout en reportant la réalisation à la date effective de versement de la subvention de la collectivité régionale. » Et afin de mettre à profit la situation actuelle pour réaliser des travaux qui étaient programmés sur les pistes d'entraînement de Chantilly à court ou moyen terme (piste All Along et piste ronde des Aigles) et utiliser ainsi les matériaux fabriqués, « la décision a été prise de confirmer les travaux de rénovation prévus sur la P.S.F. d'entraînement All Along à Coye-la-Forêt et d'engager dès à présent ceux de la P.S.F. ronde des Aigles, permettant ainsi l'utilisation effective immédiate des matériaux en cours de fabrication et à même d'être acheminés au
titre du projet de P.S.F. de l'hippodrome de Chantilly. »

jeudi 5 août 2010

COMMUNIQUE DE L'UNION DE LA PRESSE HIPPIQUE

Posted on/at 11:31 by "Actionnaires du Galop"

COMMUNIQUE DE L'UNION DE LA PRESSE HIPPIQUE

Malgré les différents tours de table avec le service technique de France-Galop, géré par François Boulard et les demandes répétées de l'Union de la Presse Hippique concernant le respect des horaires pour la déclaration des partants, les retards persistent.

Lors du premier quinté du meeting estival de Deauville, 25% des partants n'avaient toujours pas de monte à 11h16 !
"Je suis désolé de ce retard" avoua Eric Buhet, en charge de la validation des partants ce vendredi matin. En attendant des explications plus précises dès le 6 aôut de la part du directeur technique de France-Galop, l'Union de la Presse Hippique rappele aux instances dirigeantes qu'un journaliste hippique a besoin de connaitre tous les paramètres, dont notamment les montes, pour établir son pronostic.

Pour rappel, face à l'augmentation des réunions et surtout la multiplication des courses matinales, cet horaire de 10h30 est beaucoup trop tardif, surtout lorsque des dérives sont constatées.

Des doléances qui ont été comprises par les décideurs du Cheval Français qui fournissent la liste définitive des partants ainsi que des montes à 9h30 et même à J-3 lors des grandes courses.

Panne importante le dimanche 1er août.

Posted on/at 09:02 by "Actionnaires du Galop"

L'édition du 3 août du quotidien Ouest France fait état d'une panne générale du PMH survenue dimanche dernier ayant touché 24 hippodromes en France et perturbé les enjeux jusqu'à 15 h 15. C'est un manque à gagner supplémentaire pour les sociétés des courses.

mercredi 4 août 2010

Edouard de Rothschild émigre

Posted on/at 17:00 by "Actionnaires du Galop"

L'AFP qui reprend une information du journal israélien Yediot Aharonot indique que le Président de France Galop, Edouard de Rothschild a émigré lundi en Israël.

Le journal précise qu'Edouard de Rothschild n'abandonnera pas ses affaires en France, et qu'il vivra une partie du temps dans sa maison de Tel-Aviv.

mardi 3 août 2010

ZEturf annonce 2 partenariats importants.

Posted on/at 09:12 by "Actionnaires du Galop"

ZEturf annonce deux partenariats importants, avec SFR et le quotidien Le Parisien / Aujourd'hui en France (propriété du groupe Amaury, déjà opérateur de paris en ligne via Sajoo).

Emmanuel de Rohan Chabot, précise que l'objectif de ZEturf est de « devenir la première alternative crédible au PMU en multipliant les partenariats, créant ainsi une masse d’enjeux conséquente que nous pouvons offrir à nos partenaires en masse commune ».

ZEturf est désormais proposé sur le site de SFR avec une double offre : 3€ gratuits / 50 € de bonus. ZEturf est également proposé sur les sites des quotidiens Le Parisien et Aujourd'hui en France.

lundi 2 août 2010

Bras de fer ARJEL / FAI sur les sites illégaux.

Posted on/at 16:19 by "Actionnaires du Galop"

L'ARJEL a reçu récemment une fin de non recevoir de la part des Fournisseurs d'accès à Internet suite à sa demande d'interdire aux internautes français l'accès à certains sites de paris illégaux. Pour justifier leur refus, certains FAI ont fait valoir que l'article de la loi sur les jeux en ligne qui les oblige à filtrer n'est pas entré en vigueur. Il manquerait un décret d'application...

Les sept fournisseurs d'accès à Internet convoqués par le tribunal de grande instance de Paris le 27 juillet dernier seront a priori fixés sur leur sort le 6 août.